De l’objet à l’osbjet : quelles conséquences dans notre pratique ?

La difficulté de saisir la notion d’objet commence dès la naissance de la psychanalyse, lorsque Freud définit, dans l’esquisse d’une psychologie scientifique, l’objet comme étant perdu, faisant du manque de l’objet ce qui oriente le sujet ! Encore faudrait-il savoir quel est cet objet qui pour être perdu, aurait existé ! une pure hallucination de plaisir. Lacan, en faisant de l’objet un des axes de son travail, soutiendra que sa seule invention aura été l’objet a comme  « objet de la science analytique ». Son trajet mérite d’être examiné : Objet cause du désir, de la pulsion, de l’angoisse, du fantasme comme plus de jouir jusqu’au coinçage par le nœud borroméen, Lacan ne cessera d’essayer d’en préciser la catégorie, imaginaire, puis symbolique, puis Réel voire ectopique. Nous proposons à nos collègues de l’ALI et d’Espace analytique de mettre au travail cette proposition.

CLAUDE LANDMAN interviendra sous le titre « QUELQUES REMARQUES SUR L’OBJET  DE LA PSYCHANALYSE »

Claude Landman est psychiatre Psychanalyste à Paris, ancien président de l’ALI, doyen de l’Ecole pratique de hautes études en psychopathologie Dernier article : publié in  La revue lacanienne no 19  « Les complexes familiaux du petit Hans ».

Renseignement et inscription par téléphone ou sur place.

Marie Pesenti-Irrmann                                                                                                       Marc Morali

Espace Analytique                                                                       Association Lacanienne Internationale

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